Retex d'une nuit en embuscade

Allez papy, raconte nous encore comment tu as decimé l'equipe adverse bille à billes !
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Phen
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Retex d'une nuit en embuscade

Message par Phen » 24 oct. 2010 16:13

Mon binôme et moi avons pour mission de tendre deux embuscades de nuit à un groupe d’hommes dont nous connaissons ni la mission, ni l’équipement.
Nous sommes sur place, à environ 1,5km du premier point de contact à 20h15 et estimons l’heure d’arrivée du colis vers 21h. Garés sur un bas côté de route de fond de campagne, Sinoo et moi profitons quelques instants du calme du moment. L’air est humide, le temps frais. Il fait dans les 5°, et je me dépêche d’enfiler mon underarmour sous ma polaire. Nous avons coupé le contact et les phares, pour que nos yeux s’accommodent progressivement à la luminosité. La chance nous sourit semblerait-il. Une fine pellicule nuageuse diffuse la lumière de la lune, et ramène péniblement vers nous la lueur blafarde et jaunâtre de l’agglomération, située pourtant à plus de 50 kilomètres.
Nous traînons. Déjà 20h30, un bout de pain avalé et il faut s’équiper. Alors que 2 enfile péniblement sa CIRAS soutenu bon gré malgré par le halo rougeâtre de nos frontales, je me dépêche de déballer ma ghillie et le reste de mes affaires. Mon 1911 est chargé et fixé sur mon torse dans le CQC attaché sur ma RRV. Un seul chargeur supplémentaire est glissé dans mes magpouch. Je n’ai pas pris le temps de strapper mon bolt dans son écrin de jute. Tant pis, de nuit la tâche est ardue et le « boa » peu coopératif.
20h45, 11 qui chappote les missions de tous les groupes ne nous a pas encore contactés. Nous sommes à la bourre mais eux aussi. On estime être bon pour le premier spot, et après avoir tout balancé en vrac dans la voiture, non sans avoir perdu 5 nouvelles minutes à chercher mes gants, nous nous élançons sur la route défoncée en direction du spot. Mon binôme n’arrive pas à émettre sur le talkie… nous devrons faire sans communications directes.
Sur place un rapide tour du coin annonce la couleur, ca va être difficile. La route par laquelle nous arrivons décrit un large virage, qui entre en contact avec le même large virage symétrique mais en chemin de forêt, créant une grande zone qui nous semble très difficile à couvrir.
Nous décidons de monter l’embuscade plus loin sur le chemin de Terre, 11 nous a garantit le passage des hommes sur celui-ci. De plus une grande coupe forestière nous offrira un axe de tir dégagé sur presque 90 mètres. Une brève inspection des bords de chemin nous laisse perplexe. Dans le sens de progression, le bord gauche offre un bon couvert, mais les taillis sont denses, et j’ai peur de toucher des branchages au bolt. Pour 2, le problème est différent. Il est équipé en lourd et craint de ne pouvoir se replier suffisamment vite en cas de pépin. Il y a bien quelques tas de rondins sur les côtés, mais il n’y a que dans les films que les méchants ne vont pas voir derrière !
Nous optons donc pour le flanc droit, je trouve assez rapidement une petite dépression qui ferait un spot parfait. Devant les recherches infructueuses de Sinoo, je lui cède mon trou pour me rabattre sur une souche retournée 10 mètres en arrière. Nous serons donc en enfilade, le regard tourné vers le chemin.
Une vingtaine de minutes plus tard, ma radio crépite et 11 s’annonce, il arrive en 4x4 sur notre position. En une brève discussion il nous donne beaucoup d’infos utiles. C’est un groupe de 3 personnes, dont deux chasseurs alpins, et ils progressent, vite, pour 35 km en 7h de nuit. Nous devrons les embusquer sur la section de chemin prévu, et de dos.
Ils devraient arriver sur nous d’ici 15 min.
Alors que le 4x4 s’éloigne nous reprenons nos positions, cette fois, on y est. Je ne distingue plus de Sinoo que la tâche blanchâtre de son boonie, puis plus rien dès qu’il eut trouvé une position allongée confortable.
J’écarte quelques branches derrière moi, peu enclin à me laisser agripper par du conifère teigneux en cas de départ précipité. Je m’installe en chien de fusil contre le tas de terre formé dans l’entrelacs de racine de la souche, je rabats mon spandoflage sur mon visage et plaque le bolt contre mon corps. J’ai l’impression de ne voir que le reflet du ciel sur le métal de ma lunette. Tant pis, trop tard pour bouger. Encore 10 minutes, je me détends et prends connaissance de mon entourage.
C’est l’automne. Quelques feuilles mortes tombent dans un bruit de tonnerre dans le silence de la nuit, me faisant dresser l’oreille à chaque fois. Quelques châtaigniers laissent échapper des bogues à intervalles réguliers. Un léger vent arrive dans notre dos, réveillant une forêt endormie.
Sous mes jambes repliées, le sol est meuble, mélange de terre fraîche de ma souche et d’un humus permanent. Quelques feuilles prisonnières de mes filets protestent quand je remue à peine et les plie dans les revers de mon pantalon.
Je n’ai plus regardé l’heure depuis longtemps. Pourtant une alerte dope mon adrénaline. Alors que la forêt était jusqu’à présent muette, un oiseau lance un cri d’alarme loin derrière et continue sa mise en garde en effectuant de grand cercle à proximité de la clairière. Sinoo aussi a du être alerté, car je l’entendais régulièrement remuer pour détendre ses membres engourdis mais plus un bruit ne filtre de sa position. Je replie un peu mes jambes et me tasse contre la souche. Je lève en silence mon L96 alignant la lunette avec la route pour ajuster ma visée. Dans la lunette se détache les contrastes. Sur la gauche à quelques mètres un tas de rondins, la lueur grisâtre du chemin coupée par le fond noir de la limite de végétation. Je suis prêt et ramène le bolt contre mon corps.
Une minute après les cailloux s’entrechoquent sur le chemin forestier. Les sons sont très étalés, et j’hésite un moment à me détendre pensant à quelques sangliers. Mais non, de discrets signaux vocaux témoignent de l’arrivée du groupe. Ils sont maintenant à 20 mètres de nous, en train de franchir le croisement formé par la route et le chemin de terre. Ils prennent beaucoup de précaution, et avance lentement sur le croisement. Ils s’engagent de quelques mètres sur le tronçon forestier où nous sommes.
Moins de 10 mètres derrière moi. J’entends maintenant le souffle rauque d’un homme, les rots d’un autre, témoins d’un repas trop vite avalé avant un effort physique. Ils progressent deux à gauche et un à droite.
Je ne bouge plus, j’ai l’impression que les battements de mon cœur s’entendent à 10 mètres, respirant à peine je m’attends à les voir passer d’une seconde à l’autre sur le chemin.
Et là voilà que le chef d’équipe annonce une halte pour regarder la carte ! Ils sont à ma hauteur, probablement contre la pile de bois de l’autre côté du chemin. Il déploie ses hommes leur demandant de surveiller les alentours pendant qu’il vérifie la carte.
Je suis parfaitement immobile, je ne respire plus. Mon index gauche a glissé entre le canon et la lunette. Dans le froid il gèle. Je ne bouge pas. Aucun bruit aucun mouvement. Un des hommes se rapproche. Il vient appuyer son pied contre ma souche. J’ai l’impression que la terre tremble à l’impact, mon corps est tendu comme jamais je ressens les vibrations contre la souche à 100%.
Il commence à contourner la souche par la droite, donc dans mon dos. J’entends quelques brindilles se briser. Le moment dure une éternité puis l’homme se retourne et revient vers son groupe.
Ils discutent à voix basse de leur situation, et de leur itinéraire. Je comprends vaguement qu’ils sont en retard et doivent accélérer. Un ordre de formation est donné. Ils vont se remettre en route.
Quelques instants après, le chemin de terre humide crissent à nouveau sous les pas…qui s’éloignent ! Ils font demi-tour et empruntent une autre route que celle à priori garantie par 11 !
Je laisse passer 2, 5 , 10 minutes, suspectant peut-être une contre embuscade de leur part. Mais rien, juste les bruits de la forêt ayant repris leur droit. Je me déplie doucement, le ventre contre la souche je peux du coup observer le chemin et le croisement, déserts. Ils sont partis.
Je progresse courbé vers la position de mon binôme. Lui n’ayant pas entendu les conversations est encore plus étonné. Je lui fais un topo bref. Si on veut être au deuxième point dans les temps il faut y aller. Il se redresse aussi, nous restons attentifs, mais rien. Dès lors nous courrons vers le véhicule, plus une minute à perdre. Ils sont à 4km de notre deuxième point d’embuscade et nous par la route nous avons 20km à faire.
Nous jetons le L96 et la AK à l’arrière, et montons tout équipés dans le hummer… la fiat 500 de Sinoo !
Sinoo a sa cagoule de travers et son masque facial sur le menton, j’ai le spando à moitié relevé et les lunettes de travers… Banzai !
En roulant je regarde la carte pour les points de passage possible de l’équipe, mais nous nous en tenons finalement au plan dont nous avions convenu quelques jours plus tôt.
Nous nous garons plus loin cette fois et surtout plusieurs centaines de mètres sous l’objectif. Pas le temps de réfléchir. Nous partons en trombe dans la montée, mais étonnamment silencieux, je suis content de nous. Les courbes et les croisements sont imprimés dans nos mémoires et les 20 minutes de marche d’approche se font sans accroc. Il est 23h nous sommes sur le site 2. C’est au croisement du chemin dont nous venons et de la piste forestière dont ils doivent arrivés. Cette fois ci pour nous pas de directives d’engagement, nous sommes libre. Mais le temps presse. De grands cailloux sur le côté droit dans l’axe de progression nous permettraient surement une belle embuscade de jour. Mais de nuit c’est la gaufre assurée pour l’exfiltration. Juste à côté pourtant des épicéas aux branches basses offrent une excellente couverture, laissant les 60 mètres de chemins bien droits parfaitement visibles. Ca sera le poste de mon binôme. Nous estimons l’arrivée des hommes à 23h30. Il est déjà 23h passé, il faut que je me dépêche. Sur mon flanc, c’est une ancienne plantation d’arbres qui offre un sous bois très dégagé et peu de couvert. En revanche, il reste très sombre et me permettra de me replier en sécurité, notre chemin d’arrivée étant moins de 100 mètres en contre bas en diagonal. J’essaie dans un premier temps de profiter d’une limite de végétation pour me placer entre la coupe et des taillis. Mais ceux-ci sont trop épais et ne vont pas me permettre de dégager.
Je décide de faire confiance à ma ghillie. Je m’assois sur le bord du chemin, les pieds du bipode repose à moitié sur le chemin et à moitié dans le petit talus. Je m’installe les jambes dans le talus, et le corps allongé sur le bord du chemin. J’ai un conifère quelques dizaines de centimètres derrière, peut-être ferais je illusion. De toute façon, c’est Sinoo qui doit engager d’abord à environ 40 mètres, et je devrais être invisible à cette distance. Dans le doute si ils passaient par le sous bois de mon côté, j’ai posé le 1911 sous le bolt, et si je dois engager il me rejoindra, force de rafales.
23h26, les silhouettes se détâchent en monochrome sur le fond du chemin, légèrement en pente. Ils progressent vite très vite, et sur mon flanc, mais sur le chemin.
Je prends ma visée dans la précipitation, ils sont déjà à 60 mètres. Malheur, avec leur position, impossible pour moi d’avoir un contraste suffisant pour voir les silhouettes se découper dans la lunette.
50 mètres, définitivement, le bolt ne pourra pas parler cette nuit, ma main glisse doucement vers le 1911, mon pouce fait sauter la sécurité, et tout en prenant la visée sur le premier, j’espère que Sinoo pourra tirer sur le deuxième.
30 mètres, 20 mètres toujours aucun tir, pourtant maintenant on les entend clairement, les silhouettes sont maintenant des hommes bien visibles qui se rapprochent inexorablement.
10 mètres, Sinoo a un problème, c’est sûr et je vais être découvert.
5 mètres, limite de sécurité pour moi, j’engage « PAM PAM Psshshst »
« POC POC » mes deux premières billes ont touché le premier homme, et mon gant est maintenant couvert de propane liquide. Mon gaz été ne fera définitivement plus l’affaire jusqu’aux beaux jours.
Quasiment simultanément à mes tirs, Sinoo s’est redressé conformément au plan pour venir me prêté main forte, et distribue quelques rafales courtes en traversant comme un beau diable le chemin. Ils ne voyaient pas les hommes pour engager, gêné par des branchages après s’être replacé !
Au même moment le chef d’équipe adverse hurle un tube arrière pour ses hommes qui commencent à tirer sur l’ancienne cachette de Sinoo ! Je n’ai pas été vu. Et pour cause arrivant dans le talus ce dernier manque de trébucher sur moi ! Il me confiera un élégant « au putain je ne t’avais pas vu ».
Les ennemis effectuent une manœuvre sans faute et se replient excessivement vite. Le blessé titube, sous la surprise d’abord puis jouant son rôle, il rejoint sa formation.
Nous nous replions dans la relative sécurité de la pénombre du sous-bois alors que les tirs et les cris s’éloignent, l’autre groupe ayant probablement trouvé un abri sûr. Si nous attaquons c’est nous cette fois qui serions les victime d’embuscade. Et ce n’est pas notre mission.
Nous suivons en vitesse, la limite de végétation pour retrouver notre chemin que nous empruntons au pas de course. Je reste inquiet et surveille le contre haut, redoutant une descente sur nous dans ce moment vulnérable. Nous bifurquons dans un petit sentier de pierres abruptes et nous arrêtons pour souffler et écouter. Personne ne nous suit. Nous reprenons la descente plus détendus, non sans que 2 nous fasse une petite valse annonciatrice de chute dans les ravines du chemin creuser par les pluies.
Ca y’est nous revoilà sur la route à quelques encablures de la voiture. Il est minuit passé, et notre mission est réussie. Nous prenons un thé, au réchaud, dans les bois avant de rentrer dans nos maisons, le sourire jusqu’aux oreilles après cette nuit riche en adrénaline et rebondissements.
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Re: Retex d'une nuit en embuscade

Message par Fred » 24 oct. 2010 17:30

Beau récit de cette partie de nuit, on s'y croirait, c'est très agréable à lire !
Pour info, niveau roleplay, quelle était la mission et le (les) objectif(s) de l'équipe à qui vous avez tendue cette embuscade ?
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Re: Retex d'une nuit en embuscade

Message par Phen » 24 oct. 2010 18:08

Je sais que c'était un raid d'entrainement pour eux, mais on ne connaissait vraiment pas leur objectif et c'est ca qu'est bon hehe. Tous les groupes en opérations comme ca ne se connaissent parfois même pas. D'ailleurs on est toujours en recherche de nouveaux motivés !
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Re: Retex d'une nuit en embuscade

Message par A-Swagger » 24 oct. 2010 18:13

Très beau récit je confirme :mrgreen:
Et définitivement, l'hiver est notre ennemi pour le gaz! :( J'ai eu des souci ojd8! je sort 3mecs à 70m (mesurer mais pas a la première bille) et quand le temps se raffraichi en fin d'aprem... pu que 50m de portée max! :|
Bref j'aime pas le froid :mrgreen: et ta mésaventure nous arrive a tous! c'est pour ca que je garde le chargeur au chaud près de moi jusqu'a le sortir au dernier moment!
M24 classique army, scope sniperland V2, kit palsonite vaccum PDI, Bloc hop-up PDI (joint guarder), inner barrel 6.01 de 515mm PDI, trigger box PDI, end cap et sus handel PDI, ressort APS180 (459fps) et APS240
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Re: Retex d'une nuit en embuscade

Message par blackangel » 24 oct. 2010 18:20

... c'est où qu'on signe pour faire des partie comme ca ? :(
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Re: Retex d'une nuit en embuscade

Message par Phen » 24 oct. 2010 18:51

Sous mon avatar en cliquant sur le bouton mp ;) Sinon pour l'instant uniquement en rhone Alpes mais pourquoi pas organiser qq chose plus loin!
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Re: Retex d'une nuit en embuscade

Message par Alumyx » 25 oct. 2010 22:45

Exellent récit ! C'est à la fois un épisode palpitant, très bien écrit, avec juste ce qu'il faut de descriptions, et dans un style accrocheur ! Je me suis franchement régalé à te lire. Le passage de la première embuscade est vraiment prenant ! Un grand merci pour ce moment de sniping partagé. Tu peux remettre le couvert quand tu veux !
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Re: Retex d'une nuit en embuscade

Message par Frostcore » 26 oct. 2010 9:42

Merci Phen de nous faire rêver ! :)

Excellent scénario, mise en situation..; trop bon quoi ! :p

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Vu sur FA:
marque swiss arms model SA1 bolt. il ne s'agit pas d'un cheap chinois tel qu'un bar 10 donc meilleur qualité de tous les composant d'origine

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Re: Retex d'une nuit en embuscade

Message par Eincutr » 26 oct. 2010 10:24

Celle ci etait ou en rhone alpes? je suis en savoie pour ma part, et juste a coté d'un Bataillon de chasseurs alpins...PM moi si jamais vous faites un truc dans le coin ;)
*réarme* "allez, cui la est pour moi.." *Shtou* "merde,side spin!
*réarme* "allez, cui la est pour moi.." *Shtou* "merde,du vent!
*réarme* "allez, cui la est pour moi.." *Shtou* "merde,une branche!
*réarme* "allez, cui la est pour moi.." *Shtou* "merde,trop loin!
[...]

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Re: Retex d'une nuit en embuscade

Message par Phen » 26 oct. 2010 17:06

Dans le Lyonnais pour celle ci. Mon équipe n'avait qu'une toute petite part à jouer sur l'OP global qui à durer 18h :) Mais ta propal est noté.

Merci de vos commentaires, je ferais des retours plus souvent !
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Rosen
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Re: Retex d'une nuit en embuscade

Message par Rosen » 26 oct. 2010 17:25

J'en avais mal aux yeux tellement j'étais accroché à chaque lignes du recit. Tres bien écrit et vraiment, je me croyais à tes côtés !
Tu pourrais nous en dire plus au sujet de ces parties tres spéciales ?
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Re: Retex d'une nuit en embuscade

Message par Phen » 26 oct. 2010 21:47

Que voudrais tu savoir ? :) merci de ton engouement!
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ixio
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Re: Retex d'une nuit en embuscade

Message par ixio » 27 oct. 2010 9:46

très bien écrit, super agréable a lire... surtout avec une tartine de nutella 8)

dark_hadès
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Re: Retex d'une nuit en embuscade

Message par dark_hadès » 29 oct. 2010 13:52

très beau récit, on s'y croirait !

groupe Rhône, j'imagine?
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Re: Retex d'une nuit en embuscade

Message par Phen » 30 oct. 2010 12:07

Avec eux en parti, mais nous sommes indépendant.
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